Et si on donnait (vraiment) envie aux salariés de venir au travail à vélo ?
Et si les salarié·es adoptaient le vélo non pas pour la planète, mais pour eux ? Chez Va Bene, on forme à la mobilité douce en misant sur le plaisir, l’autonomie et le bien-être au quotidien.
RSE / QVCT
Bénédicte Michaux
5/9/20252 min temps de lecture
On m’a récemment commandé une formation pour valoriser la mobilité douce en entreprise.
L’intention est louable : moins de voitures, plus de vélos, pour la planète, la santé, l’image RSE…
Mais très vite, j’ai eu envie de creuser une question essentielle :
Qu’est-ce qui ferait vraiment aimer le vélo aux salarié·es ?
Pas en théorie. Pas sur un slide.
Dans la vraie vie. Le matin, à 8h12, quand il fait un peu gris et à la bourre....
On ne tombe pas amoureux du vélo parce qu’il est "écologique"
Oui, c’est vrai : le vélo émet zéro CO₂.
Oui, il donne une image dynamique à l’entreprise.
Oui, ça coche plein de cases sur les dossiers RSE.
Mais un salarié ou une salariée ne change pas ses habitudes par conviction morale seule.
Il ou elle change… parce qu’il y gagne quelque chose.
Ce qu’on gagne (vraiment) en allant au boulot à vélo
Du temps pour soi
Un trajet à vélo, c’est souvent le seul moment où on est ni parent, ni collègue, ni manager.
Juste soi, le vent dans le visage.Du bien-être
Pas de bouchons, pas de stress de transport.
Le vélo, c’est une déconnexion mentale… et une reconnexion physique.
Même 15 minutes suffisent à activer les endorphines.Un sentiment de maîtrise
Pas dépendant·e d’un bus en retard ou d’une appli de VTC.
Je choisis mon chemin. Je gère mon rythme. Je redeviens acteur·rice de mon temps.Un esprit d’équipe
On se croise au local vélo. On papote sur les pistes cyclables.
Le vélo crée du lien, de la connivence, parfois même… une petite compétition sympa (moi j'adore faire la course avec les tramways)
Et dans la formation, on fait quoi ?
Dans mes formations sur la mobilité douce, je ne commence pas par parler de carbone ou de taxe carbone.
Je commence par ce que les gens vivent, ressentent, espèrent.
Je les invite à réfléchir, expérimenter, ressentir.
On partage ses trajets.
On parle des freins (logistiques, symboliques, vestimentaires !).
On fait le tri entre les excuses et les vraies contraintes.
Et surtout… on crée l’envie de tenter.
Parce que le plus dur, ce n’est pas de convertir.
C’est de donner le goût d’essayer.
En résumé
On ne choisit pas le vélo pour sauver le monde.
On le choisit parce qu’il rend le quotidien plus fluide, plus libre, plus doux.
Et une fois qu’on a goûté à ça…
C’est très, très dur de revenir en arrière 😉
Tu veux une formation qui donne vraiment envie de pédaler ?
Pas juste des arguments RSE, mais un vrai changement d’habitude ?
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